L'univers poétique de SALVATORE ADAMO
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un coeur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos coeurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
Naissance de Sandro Botticelli, peintre italien
Alessandro Filipepi, qui sera plus tard surnommé Sandro Botticelli, naît à Florence, en Toscane, cadet de quatre frères. Il grandit dans une famille modeste, son père Mariano Filipepi est tanneur, son atelier est situé dans le quartier voisin de Santo Spirito. Botticelli a un surnom, venant du mot « botticello » qui signifie « petit tonneau » ; le surnom vraisemblablement donné à son frère aîné Giovanni, passa rapidement au cadet .
Son frère Antonio, orfèvre de profession, lui prodigue son premier enseignement artistique.
naissance de Venus
C'est à Florence que se déroule presque toute la carrière de Botticelli. En1470, celui-ci ouvre son atelier et, grâce à un homme de confiance des Médicis, obtient sa première commande officielle, la Force, qui est une allégorie.
Vers 1472, il s'initie à la peinture religieuse avec le Retour de Judith
retour de JUDITH
et un Saint Sébastien.
huit anges et surtout le Printemps, commandé pour deux frères Médicis ; la grâce linéaire qui
s'y épanouit atteste que l'artiste a trouvé un langage totalement personnel.
Le printemps
Simonetta Vespucci
Il est décédé le 17 mai 1510
Il y a tout juste cent quatre ans , par une douce soirée d'été, Paul Poiret donnait, dans les jardins de son hôtel parisien du 107, rue du Faubourg Saint-Honoré et 26, avenue d'Antin (notre actuelle avenue Franklin D. Roosevelt), la plus créative, la plus extraordinaire des fêtes costumées du XXème siècle. Une fête persane dont l'écho est parvenu jusqu'à nous, tant fut grand, à l'époque, son retentissement.
PAUL POIRET
Paul Poiret, né à Paris le 20 avril 1879 et mort à Paris le 30 avril 1944, de son vrai nom Paul-Henri Poiret est un grand couturier français, connu pour ses audaces.
Il est considéré comme un précurseur du style Art déco. Sa marque commerciale est un turban très enveloppant orné d'une aigrette que sa femme, Denise, rend célèbre.
En 1906 il présente une série de modèles sans corset où la taille est remontée sous la poitrine. Il s’inspire de la mode Directoire pour ses collections. La taille haute de ses créations est marquée par une ceinture, intégrée à la robe qui galbe la poitrine. Il n’ajoute pas de volume artificiel à la robe, il la veut longue et étroite pour deviner le mouvement des jambes. Pour amplifier cette idée il utilise principalement des mousselines légères et colorées qui dévoilent plus qu’elles ne cachent l’anatomie. Paul Poiret modifie profondément la silhouette féminine.
On résume souvent sa carrière par l’abolition du corset, mais on n’oublie parfois de préciser qu’en libérant le haut du corps, il a entravé la démarche des femmes dans ses fourreaux. Selon lui il était parvenu à un miracle en délivrant la femme du corset, il ne prêtait donc pas attention aux critiques:
« Oui je libérais le buste, mais j’entravais les jambes [...]. Les femmes se plaignaient de ne plus pouvoir marcher, ni monter en voiture. Toutes leurs jérémiades plaidaient en faveur de mon innovation "
Les Robes de Paul Poiret, racontées par Paul Iribe, 1908
Je l'aimais bien ma tête
Je la trouvais sympa
Avec son air poète
Que je tenais de papa
Mais j'ai une autre tête
Depuis ce maudit jour
Où j'ai perdu la tête
Pour un stupide amour
NON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ON NOUS SIGNALE ...... QUE....
...........
SALVATORE était à BARCELONE CE VENDREDI 13 FEVRIER
Quel beau VENDREDI 13!!!
Frappe, frappe à la porte du bonheur
Frappe, frappe qu'il t'entende
N'aie pas peur
On le prétend un peu sourd
S'il le faut prends un tambour
Ou tire un coup de canon
S'il n'entend pas ta chanson
Frappe, frappe à la porte du bonheur
Frappe, frappe qu'il t'entende
N'aie pas peur
Si malgré tous tes efforts
Il ne t'ouvrait pas encore
Alors reste grand seigneur
Sois beau joueur
Envoie-le donc dans les fleurs
Le bonheur
Dans les fleurs
Le bonheur
Cours t'allonger dans un lit de fleurs des champs
Redeviens enfant, achète un cerf-volant
Et sois heureux
Ou grimpe au sommet de l'arbre le plus haut
Attends ta becquée comme un petit oiseau
ET SOIS HEUREUX
Frappe, frappe à la porte du bonheur
Frappe, frappe qu'il t'entende
N'aie pas peur
Frappe aussi fort que tu peux
Et s'il ne voit pas qu'il pleut
Sur ta vie et dans tes yeux
Alors vieux
Mets le feu à son palais
SANS REGRET
Brûle son palais
SANS REGRET
ET LE SAMEDI 14 FEVRIER . A MADRID ..C'était reparti... pour une émission de télévision .. ALLEZ HOP!
samedi sur le petit écran de la télévision de MADRID ....
" QUE TIEMPO TAN FELIZ" pour la saint VALENTIN
c 'est LA FIESTA
Ce n'est pas tout!!! dans JOUR DE FRANCE Numéro : 47 du 31/01/2015
... RENDEZ VOUS " INCH'ALLAH" le 14 mars ou le 15 ...
UN GRAND MERCI A NOS AMIES ET AMIS POUR LEUR COLLABORATION.. JEANNINE. LUISA. JEAN CLAUDE ....
Avant de vous quitter.. QUELQUES INFOS.
~~Si vous désirez en savoir beaucoup plus sur la carrière, les dates des concerts... etc... UNE SEULE ADRESSE: SUR FACEBOOK... "LE SITE SALVATORE D'AMOUR " EST LA... IL VOUS ATTEND.. AINSI QUE JEAN CLAUDE.. ET TOUS LES AMIS . .
UNE INFO TRES HEUREUSE VIENT DE TOMBER:
L'ami Gérard Deligny vous attend aussi dans son atelier --158 rue Claude Gardelein à DUNKERQUE. 59140. Mais aussi: SI VOUS HABITEZ DANS LE NORD..et si vous avez envie de vous évader par le rêve.... . UNE SEULE ADRESSE... Au Petit Manoir", chambres d'hôtes, 36, Fg de Cassel 59380 Socx
03 28 65 43 20
06 31 39 23 66.....Exposition des oeuvres de Gérard Deligny, DE février 2015 à fin mars... venez nombreux !!
Les émotions c'est bien connu.... cela donne faim... Alors? que diriez-vous de quelques douceurs ? des gaufres? oui mais n'importe lesquelles!!
Les meilleures sont " la dunkerquoise"
ET ... AUSSI...
Bruges - une des plus belles villes de BELGIQUE
Téteghem ( 59) Chapelle Notre-Dame-des-neiges
Voilà, mes amis.. c'est tout pour ce moment..
Voilà, mes amis.. c'est tout pour ce moment..
10000 excuses à nos amis qui nous avaient confié leurs liens de leurs sites.. Mais une restructuration du blog, nous empêche de les noter dans nos articles..
LES MOUSQUETAIRES VOUS SALUENT BIEN ....
SALVATORE... NOUS... CHRISTIAN. GERARD. MAURICE ET MOI